Livre III - Chapitre 10
Prologue en vers | Chapitre 1 | Chapitre 2 | Chapitre 3 | Chapitre 4 | Chapitre 5 | Chapitre 6 | Chapitre 7 | Chapitre 8 | Chapitre 9 | Chapitre 10 | Chapitre 11 | Chapitre 12 | Chapitre 13 | Chapitre 14 | Chapitre 15 | Chapitre 16 | Chapitre 17 | Chapitre 18 | Chapitre 19 | Chapitre 20 | Chapitre 21 | Chapitre 22 | Chapitre 23 | Chapitre 24 | Chapitre 25 | Chapitre 26 | Chapitre 27 | Chapitre 28 | Chapitre 29 | Chapitre 30 | Chapitre 31 | Chapitre 32 | Chapitre 33





44v
§Rapport fait a dagobert. La plume en main et papier ſur pulpitre. [1785]Veullent traicter en ce pnt chapitre. Que clotaire eut ſucceſſeur dagobert. Qui partit terre a ſon frere aribert. Dont bien content ſe tint et a bon tiltre.
§Chapitre.xe.ROyal obſeque / a clotaire parfaict. [1790]Et le gꝛand dueil de tous en
appert faict, Poſtes courantz / voye eurent
toſt choiſie. Pour dagobert, eſtant en auſtraſye. Faire certain de ce dolent treſpas. Ioye et doulleur a vng meſme repas. [1795]Soudainement, quāt et eulx arriuerent. Et a lentour de ſon cueur eſtriuerent. Doulleur donna telle appꝛehencion. Et tel obgect de compꝛehencion. Au cueur eſmeu a pitie paternelle. [1800]Que lœil ne ſceut ſe compoꝛter en elle.
§Du treſpaz de ſon pere. 45r Mais chauldement le viſaige arrouza. Deau lachꝛimale / Alloꝛs ſur lerre oza. Y aboꝛder vne doulce penſee. Dont fut doulleur deſlongner diſpenſee. [1805]Car en penſant auoir poſſeſſion. Du bien poꝛtant telle ſucceſſion, Quoy que doulleur myſt le regꝛet en pere. Ioye y ſuruint, qui ce courroux tempere. Cueur, ſe ſentant par vng tel coup ayſer. [1810]Peult la doulleur doulcement appayſer. Oꝛ diſons donq / Aux nouuelles certaines. Feyt dagobert / marcher ſes cappitaines. A gꝛoſſe armee / en france / affin de veoir. Sil y auroit rumeur / et y pourueoir. [1815]Pareillement enuoya en bourgongne. Pour tout renger ſe on faiſoit quelque hongne. En tours / chaſteaulx / bourgs, villes et citez. Loꝛs les pꝛelatz et pꝛinces excitez. Daller a reins / penſerent deulx la rendꝛe. [1820]Et luy auſſi pour lvnction y pꝛendꝛe. Tout le miſtere en bon oꝛdꝛe acomply. Du roy ſacrer / fut reins tantoſt emply.
§Dagobert ſacre a reims.45v De gꝛos ſeigneurs / gentilz hommes / eueſques. De toutes partz / et gꝛas abbez auecques. [1825]Et la, chaſcun ſelon ſa qualite. Feyt le ſerment dample fidelite. Les troys eſtatz / tel honneur et gꝛace eurent. Que dvng accoꝛd pour leur roy le receurent. Comme heritier ſe voyant eſtrene. [1830]Du bon endꝛoict par pꝛemier eſtre ne. Mais aribert, le ſien frere de pere. Et ſon puiſne / comme enffent qui eſpere. Gꝛand deuenir / et auoir bonne part. Du bien eſcheu / que bon heur luy depart. [1835]Eut en deſir, par vng ſien oncle et guide. Bꝛunulphe / frere / a ſa mere sychilde. Guerre eſmouuoir / pour france poſſeder. Mais en cela ne ſceut que vng pou ſe ayder. Auſſi eſtoit la raiſon toute annexe. [1840]A dagobert, ſelon dꝛoict de ainſneeſſe. Et neantmoins / luy eſmeu a pitie. De fraternelle et loyalle amytie. Se conſentit luy eſtre departie. De ſon / royaulme vne bonne partie.
§Partaige faict a aribert. 46r [1845]Et par ainſi demourerent daccoꝛd. Il eut cahours, Xaintonge, Perigoꝛt. Thouars / thoulouze / auſſi toute acquitaine. Pour la paix faire entreulx deulx plus certaine. Fut accoꝛde que entierement tiendꝛoit. [1850]Tout le pays / et luy appartiendꝛoit. Puis loyꝛe aſſiz iuſquaux montz pyꝛenees. Par conuenant des choſes oꝛdonnees. Quau meſme|īſtant / il feroit ceſſion. Et pur tranſpoꝛt de la ſucceſſion. [1855]Quil pꝛetendoit en pꝛomettant, pour elle. Luy et ſes hoirs iamais nauoir querelle. Cela conclud / hoꝛs mys noyſe et content. Vng chaſcun deulx ſe departit content. Loꝛs aribert, a pleine eſiouyſſance. [1860]Eut de ces lieux payſible iouyſſance. Siege royal a thoulouze eſtablit. Et la cite tellement ennoblit. Quil y fonda, comme la pꝛimeraine. De tous reſſoꝛtz / vne court ſouueraine. [1865]Et dauentaige / Apꝛes quatre ans regner. Sceut ſi tresbien ſon affaire mener.
§Les pays tenus par dagobert.46v Que a luy vnyt le pays de gaſcongne. France / neuſtrye / Auſtraſye / et bourgongne. Tint dagobert. Oꝛ fault ſcauoir en ca. [1870]Si ſaigement a regner commnenca.
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§Rapport fait à Dagobert, La plume en main et papier sur pulpitre, [1785]Veullent traicter en ce present chapitre Que Clotaire eut successeur Dagobert Qui partit terre à son frere Aribert, Dont bien content se tint et à bon tiltre.
§Chapitre.xe.Royal obseque à Clotaire parfaict, [1790]Et le grand dueil de tous en appert faict, Postes courantz voye eurent tost choisie Pour Dagobert, estant en Austrasye, Faire certain de ce dolent trespas, Joye et doulleur à ung mesme repas. [1795]Soudainement, quant et eulx arriverent, Et à l'entour de son cueur estriverent, Doulleur donna telle apprehencïon, Et tel obgect de comprehencïon Au cueur esmeu à pitié paternelle [1800]Que l'œil ne sceut se comporter en elle,
§Du trespaz de son pere Mais chauldement le visaige arrouza D'eau lachrimale. allors sur l'erre oza Y aborder une doulce pensee, Dont fut doulleur d'eslongner dispensee. [1805]Car en pensant avoir possessïon Du bien portant telle successïon, Quoy que doulleur myst le regret en pere, Joye y survint, qui ce courroux tempere. Cueur, se sentant par ung tel coup ayser, [1810]Peult la doulleur doulcement appayser. Or disons donq, aux nouvelles certaines, Feyt Dagobert marcher ses cappitaines À grosse armee, en France, affin de veoir S'il y auroit rumeur et y pourveoir. [1815]Pareillement envoya en Bourgongne Pour tout renger se on faisoit quelque hongne En tours, chasteaulx, bourgs, villes et citez. Lors les prelatz et princes excitez D'aller à Reins, penserent d'eulx la rendre, [1820]Et luy aussi pour l'unctïon y prendre. Tout le mistere en bon ordre acomply, Du roy sacrer, fut Reins tantost emply
§Dagobert sacré a Reims De gros seigneurs, gentilz hommes, evesques, De toutes partz, et gras abbez avecques. [1825]Et là, chascun selon sa qualité, Feyt le serment d'ample fidelité. Les troys estatz tel honneur et grace eurent Que d'ung accord pour leur roy le receurent Comme heritier se voyant estrené, [1830]Du bon endroict par premier estre né. Mais Aribert, le sien frere de pere, Et son puisné, comme enffent qui espere Grand devenir, et avoir bonne part Du bien escheu, que bon heur luy depart, [1835]Eut en desir, par ung sien oncle et guide Brunulphe, frere à sa mere Sychilde, Guerre esmouvoir pour France posseder. Mais en cela ne sceut que ung pou se ayder, Aussi estoit la raison toute annexe [1840]À Dagobert, selon droict de ainsnëesse. Et neantmoins, luy esmeu à pitié De fraternelle et loyalle amytié, Se consentit luy estre departie De son royaulme une bonne partie.
§Partaige faict à Aribert [1845]Et par ainsi demourerent d'accord. Il eut Cahours, Xaintonge, Perigort, Thouars, Thoulouze, aussi toute Acquitaine. Pour la paix faire entr'eulx deulx plus certaine, Fut accordé que entierement tiendroit [1850]Tout le paÿs, et luy appartiendroit, Puis Loyre assiz jusqu'aux montz Pyrenees. Par convenant des choses ordonnees, Qu'au mesme instant il feroit cessïon, Et pur transport de la successïon [1855]Qu'il pretendoit en promettant, pour elle, Luy et ses hoirs jamais n'avoir querelle. Cela conclud, hors mys noyse et content, Ung chascun d'eulx se departit content. Lors Aribert, à pleine esjouÿssance, [1860]Eut de ces lieux paysible jouÿssance. Siege royäl a Thoulouze establit, Et la cité tellement ennoblit Qu'il y fonda, comme la primeraine De tous ressortz, une court souveraine, [1865]Et d'aventaige. Aprés quatre ans regner, Sceut si trés bien son affaire mener,
§Les pays tenus par Dagobert Que à luy unyt le paÿs de Gascongne. France, Neustrye, austrasye et Bourgongne, Tint Dagobert. Or fault sçavoir en ça, [1870]Si saigement à regner commnenca.





44v
§Rapport fait a dagobert. La plume en main et papier ſur pulpitre. [1785]Veullent traicter en ce pnt chapitre. Que clotaire eut ſucceſſeur dagobert. Qui partit terre a ſon frere aribert. Dont bien content ſe tint et a bon tiltre.
§Chapitre.xe.ROyal obſeque / a clotaire parfaict. [1790]Et le gꝛand dueil de tous en
appert faict, Poſtes courantz / voye eurent
toſt choiſie. Pour dagobert, eſtant en auſtraſye. Faire certain de ce dolent treſpas. Ioye et doulleur a vng meſme repas. [1795]Soudainement, quāt et eulx arriuerent. Et a lentour de ſon cueur eſtriuerent. Doulleur donna telle appꝛehencion. Et tel obgect de compꝛehencion. Au cueur eſmeu a pitie paternelle. [1800]Que lœil ne ſceut ſe compoꝛter en elle.
§Du treſpaz de ſon pere. 45r Mais chauldement le viſaige arrouza. Deau lachꝛimale / Alloꝛs ſur lerre oza. Y aboꝛder vne doulce penſee. Dont fut doulleur deſlongner diſpenſee. [1805]Car en penſant auoir poſſeſſion. Du bien poꝛtant telle ſucceſſion, Quoy que doulleur myſt le regꝛet en pere. Ioye y ſuruint, qui ce courroux tempere. Cueur, ſe ſentant par vng tel coup ayſer. [1810]Peult la doulleur doulcement appayſer. Oꝛ diſons donq / Aux nouuelles certaines. Feyt dagobert / marcher ſes cappitaines. A gꝛoſſe armee / en france / affin de veoir. Sil y auroit rumeur / et y pourueoir. [1815]Pareillement enuoya en bourgongne. Pour tout renger ſe on faiſoit quelque hongne. En tours / chaſteaulx / bourgs, villes et citez. Loꝛs les pꝛelatz et pꝛinces excitez. Daller a reins / penſerent deulx la rendꝛe. [1820]Et luy auſſi pour lvnction y pꝛendꝛe. Tout le miſtere en bon oꝛdꝛe acomply. Du roy ſacrer / fut reins tantoſt emply.
§Dagobert ſacre a reims.45v De gꝛos ſeigneurs / gentilz hommes / eueſques. De toutes partz / et gꝛas abbez auecques. [1825]Et la, chaſcun ſelon ſa qualite. Feyt le ſerment dample fidelite. Les troys eſtatz / tel honneur et gꝛace eurent. Que dvng accoꝛd pour leur roy le receurent. Comme heritier ſe voyant eſtrene. [1830]Du bon endꝛoict par pꝛemier eſtre ne. Mais aribert, le ſien frere de pere. Et ſon puiſne / comme enffent qui eſpere. Gꝛand deuenir / et auoir bonne part. Du bien eſcheu / que bon heur luy depart. [1835]Eut en deſir, par vng ſien oncle et guide. Bꝛunulphe / frere / a ſa mere sychilde. Guerre eſmouuoir / pour france poſſeder. Mais en cela ne ſceut que vng pou ſe ayder. Auſſi eſtoit la raiſon toute annexe. [1840]A dagobert, ſelon dꝛoict de ainſneeſſe. Et neantmoins / luy eſmeu a pitie. De fraternelle et loyalle amytie. Se conſentit luy eſtre departie. De ſon / royaulme vne bonne partie.
§Partaige faict a aribert. 46r [1845]Et par ainſi demourerent daccoꝛd. Il eut cahours, Xaintonge, Perigoꝛt. Thouars / thoulouze / auſſi toute acquitaine. Pour la paix faire entreulx deulx plus certaine. Fut accoꝛde que entierement tiendꝛoit. [1850]Tout le pays / et luy appartiendꝛoit. Puis loyꝛe aſſiz iuſquaux montz pyꝛenees. Par conuenant des choſes oꝛdonnees. Quau meſme|īſtant / il feroit ceſſion. Et pur tranſpoꝛt de la ſucceſſion. [1855]Quil pꝛetendoit en pꝛomettant, pour elle. Luy et ſes hoirs iamais nauoir querelle. Cela conclud / hoꝛs mys noyſe et content. Vng chaſcun deulx ſe departit content. Loꝛs aribert, a pleine eſiouyſſance. [1860]Eut de ces lieux payſible iouyſſance. Siege royal a thoulouze eſtablit. Et la cite tellement ennoblit. Quil y fonda, comme la pꝛimeraine. De tous reſſoꝛtz / vne court ſouueraine. [1865]Et dauentaige / Apꝛes quatre ans regner. Sceut ſi tresbien ſon affaire mener.
§Les pays tenus par dagobert.46v Que a luy vnyt le pays de gaſcongne. France / neuſtrye / Auſtraſye / et bourgongne. Tint dagobert. Oꝛ fault ſcauoir en ca. [1870]Si ſaigement a regner commnenca.
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§Rapport fait à Dagobert, La plume en main et papier sur pulpitre, [1785]Veullent traicter en ce present chapitre Que Clotaire eut successeur Dagobert Qui partit terre à son frere Aribert, Dont bien content se tint et à bon tiltre.
§Chapitre.xe.Royal obseque à Clotaire parfaict, [1790]Et le grand dueil de tous en appert faict, Postes courantz voye eurent tost choisie Pour Dagobert, estant en Austrasye, Faire certain de ce dolent trespas, Joye et doulleur à ung mesme repas. [1795]Soudainement, quant et eulx arriverent, Et à l'entour de son cueur estriverent, Doulleur donna telle apprehencïon, Et tel obgect de comprehencïon Au cueur esmeu à pitié paternelle [1800]Que l'œil ne sceut se comporter en elle,
§Du trespaz de son pere Mais chauldement le visaige arrouza D'eau lachrimale. allors sur l'erre oza Y aborder une doulce pensee, Dont fut doulleur d'eslongner dispensee. [1805]Car en pensant avoir possessïon Du bien portant telle successïon, Quoy que doulleur myst le regret en pere, Joye y survint, qui ce courroux tempere. Cueur, se sentant par ung tel coup ayser, [1810]Peult la doulleur doulcement appayser. Or disons donq, aux nouvelles certaines, Feyt Dagobert marcher ses cappitaines À grosse armee, en France, affin de veoir S'il y auroit rumeur et y pourveoir. [1815]Pareillement envoya en Bourgongne Pour tout renger se on faisoit quelque hongne En tours, chasteaulx, bourgs, villes et citez. Lors les prelatz et princes excitez D'aller à Reins, penserent d'eulx la rendre, [1820]Et luy aussi pour l'unctïon y prendre. Tout le mistere en bon ordre acomply, Du roy sacrer, fut Reins tantost emply
§Dagobert sacré a Reims De gros seigneurs, gentilz hommes, evesques, De toutes partz, et gras abbez avecques. [1825]Et là, chascun selon sa qualité, Feyt le serment d'ample fidelité. Les troys estatz tel honneur et grace eurent Que d'ung accord pour leur roy le receurent Comme heritier se voyant estrené, [1830]Du bon endroict par premier estre né. Mais Aribert, le sien frere de pere, Et son puisné, comme enffent qui espere Grand devenir, et avoir bonne part Du bien escheu, que bon heur luy depart, [1835]Eut en desir, par ung sien oncle et guide Brunulphe, frere à sa mere Sychilde, Guerre esmouvoir pour France posseder. Mais en cela ne sceut que ung pou se ayder, Aussi estoit la raison toute annexe [1840]À Dagobert, selon droict de ainsnëesse. Et neantmoins, luy esmeu à pitié De fraternelle et loyalle amytié, Se consentit luy estre departie De son royaulme une bonne partie.
§Partaige faict à Aribert [1845]Et par ainsi demourerent d'accord. Il eut Cahours, Xaintonge, Perigort, Thouars, Thoulouze, aussi toute Acquitaine. Pour la paix faire entr'eulx deulx plus certaine, Fut accordé que entierement tiendroit [1850]Tout le paÿs, et luy appartiendroit, Puis Loyre assiz jusqu'aux montz Pyrenees. Par convenant des choses ordonnees, Qu'au mesme instant il feroit cessïon, Et pur transport de la successïon [1855]Qu'il pretendoit en promettant, pour elle, Luy et ses hoirs jamais n'avoir querelle. Cela conclud, hors mys noyse et content, Ung chascun d'eulx se departit content. Lors Aribert, à pleine esjouÿssance, [1860]Eut de ces lieux paysible jouÿssance. Siege royäl a Thoulouze establit, Et la cité tellement ennoblit Qu'il y fonda, comme la primeraine De tous ressortz, une court souveraine, [1865]Et d'aventaige. Aprés quatre ans regner, Sceut si trés bien son affaire mener,
§Les pays tenus par Dagobert Que à luy unyt le paÿs de Gascongne. France, Neustrye, austrasye et Bourgongne, Tint Dagobert. Or fault sçavoir en ça, [1870]Si saigement à regner commnenca.